19 martie 2024
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București

Le Bucarest, une ville avec tant d’opportunités éducationnelles

Le Bucarest c’est aussi la ville des étudiants, vu que c’est ici qu’on trouve les plus importants centres universitaires du pays. Aujourd’hui, on parlera sur l’Université de Sciences Agronomiques et Médecine Vétérinaire de Bucarest, l’un des établissements d’enseignement qui forme des spécialistes dans le secteur économique qui a connu un développement spectaculaire les dernières années.

Dans un pays où, apparemment, plus de jeunes veulent suivre la voie de la Jurisprudence, du Management ou du Marketing, il peut sembler un peu bizarre que quelqu’un veuille travailler dans le secteur de l’agriculture et étudier dans ce domaine-là. On ne dit pas que les choix ci-dessus indiqués sont erronés, mais qu’il est bien important de considérer, lorsqu’on fait l’option pour une faculté, le nécessaire même du marché du travail.

Les jeunes qui veulent vraiment une carrière de succès choisissent leur chemin éducationnel d’une manière qu’il leur aide à évoluer. Et l’offre éducationnelle de l’Université de Sciences Agronomiques et Médecine Vétérinaire de Bucarest a été conçue justement dans ce sens-là. L’institution a une tradition de plus de 165 ans dans l’enseignement agronomique.

D’où la demande : qu’est-ce qu’il a à faire un matériel sur l’agriculture avec un projet visant à faire promouvoir le Bucarest. Il ne s’agit pas d’un article sur l’agriculture, mais un qui met en évidence que le Bucarest est vraiment la ville des étudiants, et que l’Université de Sciences Agronomiques et Médecine Vétérinaire de Bucarest soit l’un des établissements d’enseignement supérieur se réjouissant d’une longue tradition. L’établissement constitue une partie bien importante de cette ville, en contribuant même à son développement.

Et vu que les histoires des gens sont les plus efficaces pour mettre en évidence certaines réalités, on a choisi de faire présenter cette université, du point de vue de l’émoulu. On y va présenter, purement et simplement, l’histoire d’une personne qui a fréquenté les cours de cet établissement.

C’était une décision consciente

À Bucarest les jeunes viennent pour fréquenter les études.

Mădălina Lazăr a promu il y a trois années les cours de la Faculté d’Horticulture de cette Université, au présent elle fréquentant les cours de master. Entre-temps, elle a commencé à travailler, en mêlant ainsi d’une manière parfaite la formation pratique avec celle théorique.

Mădălina est issue d’une famille laquelle, d’après l’année 1989, a investi dans la zootechnie, ses parents détenant une micro-ferme de vaches. Au début, lorsqu’on a soulevé la question de choisir le parcours éducationnel, elle a prise en compte plusieurs variantes, dont aucune incluait cette université. Elle ne voulait pas de tout travailler dans le même domaine que ces parents.

Les collèges de lycée étaient divisés entre Jurisprudence, Médecine et ASE. La plupart jouaient sur l’ ASE, pensant qu’y étaient plus d’opportunités. De plus, ils pensaient d’être plus facile d’étudier l’ASE. Je dois avouer que moi aussi trouvais chacune desdites options bien attirante, mais je sentais en même temps que ce n’était pas ma place. Au début, je me suis concentrée sur l’examen de Baccalauréat, j’étudié au profil Mathématiques – Informatique et l’examen y était plus difficile que celui des élèves qui fréquentaient un profil humaniste. Ce qui était sûr était que j’allais choisir un centre universitaire de Bucarest. J’ai toujours aimé le Bucarest. Quand j’étais petite, j’attendais impatiente les vacances pour pouvoir aller chez ma cousine de Bucarest. Je me souviens que j’y étais très heureuse, quand j’allais au parc Cișmigiu. Même aujourd’hui, quand je veux me détendre, j’y va toujours. J’aime beaucoup la Calea Victoriei aussi. Je ne pourrais pas dire la même chose sur l’Ancien Centre, qui me semble trop chargé, trop bruyant. Moi, je préfère le Bucarest plus tranquille, d’une architecture superbe et allées pour s’y promener à volonté”, raconte la jeune.

Elle commençait à soulever au sérieux le problème de suivre les cours d’une faculté au domaine agricole le dernier an de lycée. „Je n’en ai pas reçu trop d’encouragements, la plupart me compatissant pour que, à leur avis, j’allasse à passer les quatre ans de vie sur les banques de la faculté et qu’à la fin, je n’aurais pas aucune opportunité d’emploi. Je n’ai jamais envisagé les opinions des querelleurs, donc, je me suis décidée de suivre les cours de la Faculté d’Horticulture. C’était une décision consciente, assumée. J’ai pensé de ne vouloir pas seulement un diplôme, mais une profession aussi, acquérir une qualification bien exacte. Donc, aujourd’hui, après la remise des diplômes, je suis ingénieur horticole”, raconte Mădălina.

Madălina Lazăr continue à se spécialiser, en voulant de produire, un jour, son propre vin.

Une fois admise en tant qu’étudiante dans cette université, Mădălina devait se transférer à Bucarest. Et c’est ainsi qu’elle a pu découvrir les opportunités de la ville. Elle a beaucoup travaillé pendant la faculté, en voulant d’acquérir plus d’expérience. Et ses emplois ont eu à faire avec le domaine étudié.

Aujourd’hui, malgré les querelleurs qui lui disaient qu’elle devait aller « à la campagne », une fois promus les cours de la faculté, pour y travailler, Mădălina travaille toujours à Bucarest. Elle fait partie d’une grade compagnie de vins qui opère des exportations dans tout le monde. Parallèlement, elle continue à se préparer parce qu’elle veut se spécialiser, son rêve étant de produire, un jour, son propre vin.

Pour les jeunes qui viennent à étudier au Bucarest, celle ville c’est la porte vers la vie. L’offre éducationnelle dont la Capitale dispose c’est bien généreuse, comparable à celle des grandes villes de l’ Europe. Le fait que chez nous l’enseignement est d’une qualité élevée est bien éprouvé meme par les résultats remportés dans leur profession par les émoulus des facultés avec tradition. Et le Bucarest c’est justement un centre universitaire important.

Auteur: Ștefania Enache
Photo: Corina Gheorghe
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